Une balade contée sur les exécuteurs de justice
De 1530 à nos jours
Extrait : » En 1746, une histoire extraordinaire circula en ville. Monsieur Henri, l’exécuteur en chef que les juges de la ville avaient provisionné trois ans plus tôt, n’était pas ce qu’il semblait être. Ils n’y avaient vu que du feu, le bourreau était une bourrelle. Oui, oui, vous m’avez bien entendu, Monsieur Henri, l’exécuteur en titre était une demoiselle qui s’était travestie ! La demoiselle s’appelait Marguerite Le Pestour. Elle n’était pas lyonnaise, elle venait de Bretagne, de l’autre côté du Royaume… »
Avec cette balade historique et décalée, vous en apprendrez beaucoup sur la vie et le quotidien des bourreaux. Qui étaient-ils vraiment ? Comment vivaient-ils ? Comment pouvaient-ils accepter un tel métier ? Quelles femmes acceptaient de les marier ? Et bien d’autres choses encore…
Récits
- Plaidoyer pour les bourreaux
- Exécuteur de la haute justice
- Marguerite, la bourrelle de Lyon
- A la Révolution, le Vengeur du peuple
- Les bourreaux bourgeois du 19e siècle
- Monsieur de Paris prend le train
- Deibler père et fils, sous les feux de la presse
- Les tout derniers
Infos pratiques
Parcours : De la place d’Ainay à la place des Archives
RDV : Place d’Ainay, sur le parvis de l’église
Durée : 1h45 environ
Tarif : 17 euros/personne
Bon cadeau et groupes privés
Vous pouvez offrir cette balade pour les fêtes, un anniversaire ou un évènement. Si vous souhaitez un bon cadeau, ou réserver cette balade pour un groupe privé, contactez-moi par mail ou téléphone au 06 20 21 19 36.
Commentaires
Caroline Bertrand Thoulon plonge son auditoire dans la petite histoire, celle du quotidien. Le texte est beau et la manière… captivante. (…) C’est bien à la manière d’une conteuse qu’elle raconte ici les bourreaux.
Le Progrès de Lyon – sept 21
L’histoire des bourreaux nous a fait frémir avec grand intérêt. Merci pour ce subtil dosage d’érudition et de passion dans le récit que l’on écoute avec grand plaisir.
Vincent (Google – sept 21)
Combien de fois ai-je entendu parler du bourreau de Lyon sans le connaître ? Je dois dire que je suis revenu aussi pour le spectacle, sa manière de jouer. Je viens comme au théâtre.
Jacques et Véronique (Le Progrès – sept 21)
Voir aussi : « A Lyon, l’habit ne fait pas le bourreau » avec La Justice Racontée dans l’émission Invitation au voyage sur Arte